Dead Cells est un mélange des genres, une sorte de monstre de Frankenstein du jeu vidéo. Ce qui ferait d’ailleurs de moi le Dr Frankenstein, et c’est plutôt cool. Nous essayons ici de marier le hasard, la rejouabilité et l’adrénaline que provoque la menace d’une mort permanente digne des rogue-lite (tels que Binding of Isaac, Enter the Gungeon, Rogue Legacy, etc.) avec l’exploration, la soif de découvrir des secrets et la progression dans le monde à l’instar des jeux de style Metroidvania (citons Ori and the Blind Forest, Guacamelee, Axiom Verge, etc.). L’inspiration principale de notre jeu est Castlevania : Symphony of the Night, comme vous l’aurez peut-être remarqué avec le pixel art…
Mais ce n’est pas fini ! Initialement, le feeling des combats s’approchait d’un Dark Souls en 2D mettant l’accent sur la préparation et l’observation méticuleuse des ennemis avant d’attaquer. Depuis, nous avons… légèrement modifié notre approche afin de permettre aux joueurs de filer à travers les niveaux tout en pulvérisant des monstres sans prendre la peine de dire bonjour. Malotru.
N’ayez crainte, vos ennemis ne prendront pas de gants eux non plus. Nous avons conservé notre philosophie « dur mais juste » tout au long de la conception, ce qui signifie que vous aurez toujours les moyens d’esquiver, mais que vous ne pourrez pas encaisser beaucoup de dégâts avant de succomber. Au bout du compte, même si votre personnage devient de plus en plus fort dans le jeu, c’est votre talent qui déterminera votre sort.
J’espère que l’idée de base de Dead Cells et notre réinterprétation moderne du pixel art vous auront convaincu d’y jeter un coup d’œil et de le tester manette en main dès sa sortie sur Xbox One ! N’hésitez pas à mentionner @MotionTwin sur Twitter et à nous poser toutes vos questions.